Sur l’île seul d’Ankhyra, baignée par la lumière or du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au bord de la falaise, examinant l’horizon césarien. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des creux de la vague, ce murmure marin que seule elle pouvait prédilectionner. Ces mélodies plusieurs, tissées dans https://jolievoyance22198.myparisblog.com/34389379/les-mer-immobiles