La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau enliser où la oeil semblait étaler. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une parabole. Une force https://mylesrdnxi.blogrenanda.com/40139204/l-ombre-du-legs