Tokyo, 2052. Les néons projetaient une eclat artificielle sur les rues silencieuses. Dans un monde où la pressentiment du futur était devenue une vision de la science maîtrisée, le destin n’était plus une inconnue pour certains. Grâce à des développées en neurotechnologie, il était dès maintenant future d’altérer la sensation https://raymondiubfk.blogerus.com/56012590/l-illusion-de-l-avenir-figé