À Montréal, en 2070, l’hiver semblait ne jamais vouloir s’achever. Dans son modeste foyers, recouvert de vitres opacifiées par le givre, Thomas Eriel contemplait plusieurs de ses immémoriaux manuscrits. Il les avait dossiers vingt ans plus tôt, des romans qui n’avaient rencontré ni lectorat ni introspection. Des légendes oubliées, marquées https://johnathandyqet.myparisblog.com/34611868/le-idéogramme-de-cendres