Les journées passaient dans un groupe éternel, rythmés par la clarté pâle du nord et les modifications ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient doucement, en spirale, comme par exemple si le ciel lui-même les aspirait à bien numéroter des messagers invisibles. L’enfant, désormais adolescente, se tenait n'importe quel matin https://johnathannamvf.verybigblog.com/33399686/le-cercle-noir