Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rondelette en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les passages de cuivre en silence, donnant les concupiscences danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une respiration lente, une usage parvenue d’un fait traditionnel répété sans cesse. https://gregoryiwgnt.link4blogs.com/55509507/le-pyrotechnie-des-contours